L'aire du Cosson, proche du château de La Ferté, est une aire possédant les aménagements nécessaires à l'accueil des camping-caristes :une prise d'eau, une trappe de vidange (eaux usées, toilettes).

Vous êtes proches du centre-ville et de ses commerce, à côté du Parc du Cosson, ce qui vous offre un lieu calme et apaisant où les bruits de la ville semblent éloignés.

Que vous ne fassiez qu'une halte ou ou ou que vous séjourniez quelques jours, vous aurez autour de vous tout le nécessaire pour vous reposer, visiter, découvrir et vous aérer.

Situé aux portes de la Sologne, ce gîte 4* est une ancienne ferme familiale totalement rénovée au cœur d’une propriété boisée d’environ 2 ha. Son nom a été inspiré par l’activité de Claire et Florent, les propriétaires, famille d'apiculteurs dont la passion pour le miel et les abeilles a été transmise depuis plusieurs générations. Ils vous accueilleront avec plaisir dans leur gîte composé de 6 chambres et d'une capacité de 14 personnes. La maison s'ouvre sur un grand jardin arboré où vous pourrez prendre vos repas si le temps le permet, ou rendre visite aux deux ânes de la ferme. Nombreuses activités près du gîte : promenades, pêche, golf, équitation… et le superbe château de La Ferté St Aubin pour lequel Claire et Florent seront heureux d’offrir une entrée à tous leurs locataires.

En 1789, une maison de maître est construite. Un siècle plus tard (1890), elle est totalement transformée, agrandie par Paul Decauville, notamment par l’adjonction de deux ailes, lui donnant l’aspect actuel de château.
SOURCE : Livre « Campagnes et châteaux de Sologne »

Anecdote : Un fait-divers mentionnant le château de Villaine fît grand bruit dans les journaux de l’époque, en 1854. La commercialisation de l’eau de sa source avait été engagée pour quatre francs le flacon sous le nom de « l’eau de Villaines-Saint-Aubin » par M. Limosi, le propriétaire de l’époque. Ses qualités pour la santé n’étaient qu’une publicité frauduleuse dénoncée par le tribunal correctionnel en juin de la même année qui le condamna à 200 francs d’amende.
SOURCE : Livre « Campagnes et châteaux de Sologne »

Au bout d'une allée, le château de Vieux-Maisons s'élève au lieu-dit Les Boursières, derrière une longue pièce d'eau. C'est une grande construction où éclatent le rouge de la brique et le blanc de la pierre, bâtie à partir de 1884 pour Robert Leroux de Villiers sur un nouveau site distant de quelques centaines de mètres du premier château du XVe siècle.
SOURCE : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-loiret-chateau-a-ligny-chateau-de-vieuxmaison.html

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Au bout d'une longue avenue, comme en une vaste clairière, est le château de La Cantée où la pierre blanche est maîtresse, ainsi que la ligne droite et la froide régularité sans être monotone. Au centre, un pavillon carré à la haute toiture, à droite et à gauche deux pavillons plus petits et plus bas, ajoutés dans les années 1840 par M. de Baudus lorsqu'il arriva à La Cantée. Une véritable idée de grandeur majestueuse se dégage de l'ensemble.
SOURCE : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-loiret-chateau-a-ligny-chateau-de-la-cantee.html

Le Château de La Motte Longuet est une ancienne demeure. Elle a connu deux périodes de constructions :
- La première, au XVIe siècle comme Rez de Chasse de François Ier
- Une seconde au XIXe siècle achevant de lui donner son charme actuel

Le château fût bâti entre 1875 et 1882, par le maire de Ligny-le-Ribault (1878-1902), Georges Dupré de Saint Maur. L'édifice était initialement conçu pour être un lieu de réceptions mondaines et plus particulièrement un rendez-vous de chasse à courre.
La composition du plan s'inspire de celle du château de Chenonceau. L'escalier, dérivé des modèles de la Renaissance espagnole, est un compromis entre le découpage d'un carré en neuf parties et une mauvaise lecture du modèle en bois du château de Chambord. Chaque division intérieure est reprise par une disposition spécifique dans la toiture: pavillons à l'impériale, toits à double pignon, à croupes et en poivrière. La multiplication des toitures avec la présence du petit belvédère évoque les toits de Chambord.
SOURCE : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-loiret-chateau-a-ligny-chateau-de-bon-hotel.html

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Pour le côté pratique et faire une pause "casse-croute" ou pour vous réapprovisionner avant de reprendre la route sur nos sentiers de randonnées. Attention toutefois en repartant à respecter notre belle nature et à jeter vos déchets dans les endroits faits à cet effet !

Gîte de bourg comprenant 14 couchettes (superposées par 2, en 2 boxes), 2 douches, 2 lavabos, wc, salle commune avec cheminée et coin-cuisine, chauf. Accueil en priorité de randonneurs pédestres et cyclistes et tout autre groupe encadré par un responsable. Fermé du 20 décembre au 10 janvier.

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Il n'y a pas de mal à se faire une pause rapide et gourmande pour nous redonner des forces. Attention toutefois à respecter notre belle nature, pensez à déposer vos déchets dans les endroits appropriés !

Retrouvez l'univers des artisans d'un village du début du siècle. Découvrez leurs métiers à travers une présentation de leur habitat, de leurs vêtements et de leurs outils de travail.
A découvrir également un magnifique Bureau de poste de 1920.

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Il ne subsiste rien de la maison médiévale qu'habita, dit-on, Jean de Meung. Le monastère qui lui succéda fut à son tour détruit pendant les guerres de religion. Le château actuel fut bâti en 1603 par Claude de Bernard, écuyer. Il a été construit sur un terre-plein complètement entouré de douves creusées directement dans le lit du Cosson. C'est un bel édifice classique de briques roses avec un pavillon central en saillie.
SOURCE : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-loiret-chateau-a-ligny-chateau-de-la-cour.html

La Tuilerie de la Bretèche est aujourd’hui la dernière briqueterie artisanale de Sologne, fondée en 1890, son secret de l’art et son savoir se transmettent de père en fils. Cette entreprise a reçu le Label "Entreprise du Patrimoine vivant" en mars 2007.

Cette demeure familiale a été reconstruite en 1840 pour reloger une famille qui avait tout perdu pendant la révolution. Les actuels propriétaires appartiennent tous les deux à cette famille, et ils ont eu le projet de restaurer le Domaine en conservant l’objectif de leur ancêtre commun : reconstituer la cellule familiale, et se reposer d’une vie active très perturbée.
Depuis 1840, les cultures ont laissé la place à la forêt, et la forêt a laissé une place privilégiée à la faune animale. Cerfs, biches, et chevreuils se montrent à la vue des randonneurs pour leur plus grand plaisir. A cette animation, s’ajoutent suivant les saisons, la cueillette des champignons et la pratique de la pêche. Tous les plaisirs du monde rural sont encore présents, comme en 1840.
SOURCE : www.chateauducosson.com/

www.airbnb.fr/rooms/19479475?guests=1&adults=1
Situé dans une dépendance des Communs du Château de Vignelles vous profiterez du calme du parc et des sentiers de randonnée en toute tranquillité en Sologne.

Le château des Vignelles, construit en 1885, est soucieux du bien-être en s'élevant sur une légère éminence. L'harmonie de l'ensemble est due à des pavillons carrés aux bases largement ajourées, aux avancées d'un corps de logis central précédées d'un perron en terrasse, à des toitures aux formes dissemblables, à une tourelle ronde appuyée sur un fût en encorbellement, ainsi qu'à des parements de pierre de taille faisant cadre à la brique rose rejointoyée de blanc. Ce château tel qu'il se présente aujourd'hui remplace l'ancien Vignelles qui ne se composait que d'un rez-de-chaussée avec mansardes de cinq ouvertures, et dont il ne reste qu'une pierre portant la date "1606", encastrée dans un angle du nouveau château. À cette époque, Vignelles appartenait à la famille de Renier sans qu'on puisse à partir de là donner la filiation exacte des propriétaires du lieu. Mais, il est certain que l'hébergement de Vignelles est plus ancien encore, car de vénérables parchemins constatent que dès 1351, c'était alors en la paroisse de Jouy le Pothier, un des fiefs dépendant du comté de Beaugency.

Château des Vignelles 45370 Jouy le Potier, propriété privée, ne se visite pas.
SOURCE : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-loiret-chateau-a-jouy-chateau-des-vignelles.html

Elle a été érigée en propriété privée (Les Trays).
D’après un témoignage, elle a été construite à la demande personnelle de Monsieur Félix Seurrat de la Boulayes alors propriétaire de la propriété Les Trays et ancien Maire de La Ferté-Saint-Aubin, d’où (en toute modestie) la dédicace à Saint-Félix.
Il y a une quinzaine d’année l’ACSPF a fait graver pour une somme dérisoire une plaque de marbre donnée par ce garde-chasse pour remplacer une plaque cassée, ce qui explique l’inscription ACSPF.
Félix Seurrat de la Boulaye a été maire de La Ferté- Saint-Aubin de 1851 à 1857, de 1877 à 1881, puis de 1882 à 1892.
C'est lui qui fit construire, sur sa propriété, l'oratoire destiné à abriter la statue de Notre-Dame des Trays trouvée dans les combles de l'église Saint-Michel (cachée sans doute à la Révolution ) et qu'il avait récupéré. La petite histoire raconte que de sa demeure il pouvait voir dans le même alignement la croix de Saint Félix, et la chapelle de Notre-Dame des Trays.

C'est en 1850 que Félix Seurrat de la Boulaye, maire de La Ferté-Saint-Aubin fit construire sur sa propriété, non loin du chemin d'Yvoy et de la route des Trays, sur une petite éminence dominant la plaine alentour, cette chapelle pour y abriter une statue trouvée dans les combles de l'église Saint-Michel et cachée là, peut-être, pour échapper à la folie destructrice de la Révolution de 1789. Cette statue -inscrite à l'inventaire des bâtiments de France- est une Vierge à l'Enfant, en bois polychrome, datée du XVIIe siècle. Elle représente la Vierge soutenant l'Enfant de son bras gauche tandis que le droit brandit le sceptre royal, attitude très en vogue au XVIIe.

C'est son nouvel abri qui lui vaut son vocable de Notre-Dame des Trays . L'oratoire est le but de pèlerinages réguliers organisés par la paroisse de La Ferté-Saint-Aubin. Notre-Dame des Trays est invoquée pour résoudre les problèmes familiaux et ceux de la vie courante, comme en témoignent les nombreux ex-votos entourant la statue.

www.chateaudelaluziere.fr/
M. Henri Bossange, qui fut maire de La Ferté-Saint-Aubin de 1900 à 1911, acheta le domaine de La Luzière, maison et ferme, Les Brays et La Tuile à M. Paul Méder, héritier de Mme veuve Méder. Il y fit construire en 1894 la demeure actuelle, qui se définit comme la juxtaposition de trois styles; normand, suisse et anglais, s'appuyant sur l'expérience architecturale passée, combinant dans un éclectisme débridé, principes, solutions et motifs d'époque et d'origines géographiques différentes. Ainsi, on peut remarquer dans la partie gauche, des arcades classiques que surmontent deux niveaux d'élévation, marqués par les modèles réalisés à la fin du siècle dans de nombreux édifices balnéaires puis un corps central, dont la volumétrie n'est pas sans rappeler les chalets suisses et, enfin, une aile dont le décor imbrique les motifs de l'architecture à pans de bois de tradition médiévale et les bois découpés. Après le morcellement de la propriété par Mme veuve Bossange, le château est acheté par la ville de Bezons, qui en a fait un important centre de vacances.

Tel. 06 16 20 54 68, location salles pour réceptions. SOURCE : www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-loiret-chateau-a-la-ferte-chateau-la-luziere.html

En 1877, une première demeure est élevée avec des communs. En 1905, le propriétaire acquiert La Mercerie et transforme la maison des Aulnettes en un château: une aile est ajoutée et une tourelle d'escalier est accolée sur la façade postérieure, puis le logis est prolongé par une fausse chapelle qui abrite une cuisine et une salle de bains au premier étage. Le fils y adjoint en 1930 une aile, à l'ouest, qui termine la série des agrandissements.

Dès le XIe siècle il existait une place forte gardant le passage de la rivière, le Cosson. À la fin du XVIe la famille de Saint-Nectaire hérita des terres et construisit le "petit château" qui fut reconstruit à la place du précédent.

Les deux longs bâtiments des communs et l'entrée monumentale, qui constituent le "grand château" avec son ensemble de douves et ses murailles, furent érigés entre 1625 et 1670. Il s'agirait de l'œuvre de Théodore Lefèbvre d'Orléans, architecte ordinaire du duc d'Orléans construit lorsque que le château appartient à Henri II de Saint Nectaire, Maréchal et Pair de France.

La construction s'accompagne dès 1630 de l'aménagement des abords et, au début du XVIIIe, de la balustrade en pierre des côtés est et ouest.

Le maréchal de Lowendal achète le château de La Ferté en 1745, vraisemblablement pour être près de son ami le maréchal de Saxe, propriétaire de Chambord (Loir-et-Cher). Il goûte alors un repos bien mérité dans sa demeure de La Ferté-Lowendal.
Ce dernier entreprend rapidement des travaux sur son domaine. Le 26 juin 1745, il fait établir un devis afin de remplacer les voûtes en briques des deux écuries par un plancher en charpente en bois.
Le maréchal de Lowendal meurt en 1755. Le 6 décembre 1758, sa veuve vend la terre de La Ferté à Nicolas Bertrand.

Le domaine fut vendu en 1822 à François Victor Masséna, duc de Rivoli et fils du maréchal d'Empire, qui le vendit à nouveau en 1864 et dispersa les terres.

Actuellement propriété privée, le château, les écuries et le parc sont accessibles au public une grande partie de l'année. La demeure toute entourée de douves, construite en briques roses et en pierre d'Apremont dégage un charme certain et est un des fleurons du patrimoine solognot.

L'ACSPF expose dans les greniers mis à sa disposition des collections d'objets et d'outils provenant de l'industrie et de l'artisanat local ancien ainsi qu'une ancienne épicerie fertésienne.

(Extrait de Parcours patrimoine de La Ferté-Saint-Aubin)