Canal et Brin d'Amour A3

L'existence d'une paroisse à Villemurlin est attestée dès le milieu du 12ème siècle. Au 15ème siècle, la commune prend le nom de "Villa Murena", puis au 16ème siècle de "Villemurlain en Sologne", puis en 1743 de "Villemurlin". Située en Sologne, dans une région parsemée d'étangs, de landes, de bruyères et de forêts, la paisible commune de Villemurlin, vit au rythme de la nature et des saisons. On y rencontre aux détours de nombreux chemins de randonnée : chevreuils, sangliers, lièvres, lapins, canards, faisans, perdrix. L'agriculture, encore très présente, anime le paysage : cultures céréalières, bocages, près, haies fleuries, vaches laitières, vaches à viande, chevaux. Dans le bourg, sur les façades des maisons, on a vu revenir depuis quelques années, à l'initiative de la commune, des échelles bleues. Ces échelles, sont l'objet d'attention particulière de la part de leur propriétaire. Elles sont décorées ou fleuries au fil des saisons. Lors de la fête annuelle du village, le dernier dimanche de septembre, un concours récompense les meilleures réalisations. Mais quelle est l'origine de ces échelles ? Autrefois, les nombreux charrons qui fabriquaient charrettes et tombereaux divers pour les travaux agricoles, peignaient ceux-ci à la peinture bleue, qui a la particularité d'éloigner les insectes. Cela était ainsi plus confortable pour les animaux qui tractaient ces engins. Les charrons fabriquaient également les échelles posées le long des façades afin d'accéder aux greniers. Et la légende dit que les charrons n'avaient qu'un seul pot de peinture et que c'est pour cela que les échelles étaient aussi peintes en bleu. L’étang des Farnaults offre, selon vos envies, la possibilité de faire de belles parties de pêche. Vous trouverez sur ce site, une aire naturelle de camping, un espace de pique-nique, des installations sportives en libre-service. Sur la place du village, se dresse l’Eglise Saint Pierre, édifiée au 19ème siècle. Une commune à découvrir ! Rurale, solognote, dynamique, Villemurlin est une commune pleine de charme.

L'existence d'une paroisse à Villemurlin est attestée dès le milieu du 12ème siècle. Au 15ème siècle, la commune prend le nom de "Villa Murena", puis au 16ème siècle de "Villemurlain en Sologne", puis en 1743 de "Villemurlin". Située en Sologne, dans une région parsemée d'étangs, de landes, de bruyères et de forêts, la paisible commune de Villemurlin, vit au rythme de la nature et des saisons. On y rencontre aux détours de nombreux chemins de randonnée : chevreuils, sangliers, lièvres, lapins, canards, faisans, perdrix. L'agriculture, encore très présente, anime le paysage : cultures céréalières, bocages, près, haies fleuries, vaches laitières, vaches à viande, chevaux. Dans le bourg, sur les façades des maisons, on a vu revenir depuis quelques années, à l'initiative de la commune, des échelles bleues. Ces échelles, sont l'objet d'attention particulière de la part de leur propriétaire. Elles sont décorées ou fleuries au fil des saisons. Lors de la fête annuelle du village, le dernier dimanche de septembre, un concours récompense les meilleures réalisations. Mais quelle est l'origine de ces échelles ? Autrefois, les nombreux charrons qui fabriquaient charrettes et tombereaux divers pour les travaux agricoles, peignaient ceux-ci à la peinture bleue, qui a la particularité d'éloigner les insectes. Cela était ainsi plus confortable pour les animaux qui tractaient ces engins. Les charrons fabriquaient également les échelles posées le long des façades afin d'accéder aux greniers. Et la légende dit que les charrons n'avaient qu'un seul pot de peinture et que c'est pour cela que les échelles étaient aussi peintes en bleu. L’étang des Farnaults offre, selon vos envies, la possibilité de faire de belles parties de pêche. Vous trouverez sur ce site, une aire naturelle de camping, un espace de pique-nique, des installations sportives en libre-service. Sur la place du village, se dresse l’Eglise Saint Pierre, édifiée au 19ème siècle. Une commune à découvrir ! Rurale, solognote, dynamique, Villemurlin est une commune pleine de charme.

Découverte du village de Villemurlin qui arbore fièrement son identité solognote et ses particularités comme ses échelles bleues, le parcours découverte des Chouettes, la borne de la Méridienne Verte, etc.

Avec son église du 12e siècle et son caquetoire renfermant la plus vieille cloche médiévale du Loiret, parcourez ses bois et ses étangs aux alentours pour découvrir de jolies propriétés privées et des anciennes fermes dotées de four à pain, de lucarnes meunières et de granges charretières.

Au temps des gaulois, Viglain s'appelait "Viclanum", mot latin signifiant "village de plaine". A l'époque gallo-romaine, le village est situé entre deux routes reliant Orléans à Sancerre. L'existence de l'église est attestée en 1154 par une lettre de l'évêque d'Orléans donnant les revenus de l'église au chapitre de Jargeau. Viglain possède alors 7 fiefs au total. Après la fin de la guerre de Cent Ans, la région intéresse les gentilshommes et les bourgeois enrichis qui acquièrent des terres en Sologne. Au 16ème siècle, des routes se créent en Sologne et des manoirs sont édifiés. Les guerres de religion sont une période de troubles pour la région. En 1658, les sabotiers de Sologne se soulèvent en raison d'une mesure monétaire qui accentue encore leur misère et trouve un chef en la personne de Gabriel de Jaucourt, seigneur de Baffou. Il sera décapité à Paris et son manoir sera rasé. A la fin du 17ème siècle et au 18ème siècle, les propriétaires du manoir de Beauregard possèdent une grande partie des terres de la commune. Au château de Béon, le vicomte de l'Epinière, lieutenant-colonel de cavalerie, est chargé de mission en Italie par Louis XVI. Il est l'arrière-grand-père du maréchal Lyautey. Au 19ème siècle, les propriétés se morcellent, permettant à des agriculteurs de devenir propriétaires. Entouré de petites collines boisées, Viglain étale la plus vaste partie de son territoire dans une large plaine. Niché en Sologne, le village vous invite à flâner dans sa campagne entre bois et bruyères, étangs et rivières. Une aire de loisirs communale comprenant tables et bancs accueille les randonneurs dans un cadre boisé à proximité de la salle polyvalente.

Au temps des gaulois, Viglain s'appelait "Viclanum", mot latin signifiant "village de plaine". A l'époque gallo-romaine, le village est situé entre deux routes reliant Orléans à Sancerre. L'existence de l'église est attestée en 1154 par une lettre de l'évêque d'Orléans donnant les revenus de l'église au chapitre de Jargeau. Viglain possède alors 7 fiefs au total. Après la fin de la guerre de Cent Ans, la région intéresse les gentilshommes et les bourgeois enrichis qui acquièrent des terres en Sologne. Au 16ème siècle, des routes se créent en Sologne et des manoirs sont édifiés. Les guerres de religion sont une période de troubles pour la région. En 1658, les sabotiers de Sologne se soulèvent en raison d'une mesure monétaire qui accentue encore leur misère et trouve un chef en la personne de Gabriel de Jaucourt, seigneur de Baffou. Il sera décapité à Paris et son manoir sera rasé. A la fin du 17ème siècle et au 18ème siècle, les propriétaires du manoir de Beauregard possèdent une grande partie des terres de la commune. Au château de Béon, le vicomte de l'Epinière, lieutenant-colonel de cavalerie, est chargé de mission en Italie par Louis XVI. Il est l'arrière-grand-père du maréchal Lyautey. Au 19ème siècle, les propriétés se morcellent, permettant à des agriculteurs de devenir propriétaires. Entouré de petites collines boisées, Viglain étale la plus vaste partie de son territoire dans une large plaine. Niché en Sologne, le village vous invite à flâner dans sa campagne entre bois et bruyères, étangs et rivières. Une aire de loisirs communale comprenant tables et bancs accueille les randonneurs dans un cadre boisé à proximité de la salle polyvalente.

Avec cette boucle, partez à la découverte de la campagne environnante d'Isdes en empruntant notamment le GR 3C et les petites routes départementales.

Avec ses maisons en briques rouges regroupées autour de l'église à caquetoire, le village de Isdes est un village fleuri et harmonieux. Du temps du roi Charles le Chauve (823-877), l'abbaye de Saint Benoît possédait des terres à Isle. Sur les cartes historiques, Isle se trouve en lieu et place de l'église d’Isdes. Cette église de style roman fut probablement construite par les moines de Saint Benoît après la première invasion des Normands en 865. Elle fut cédée un siècle plus tard aux moines de l'abbaye de Micy à La Chapelle Saint Mesmin et rachetée en 1018 par l'abbaye de Saint Benoît à Oldoric, évêque d'Orléans. La propriété de l'église par cette abbaye est corroborée par l'existence d'un chemin rural dit "d'Isdes à Bouteille" qui passait à l'Ouest de Viglain. Bouteille étant situé à Guilly, en amont de la Loire par rapport à Saint Benoît, les moines pouvaient ainsi échapper aux invasions normandes. Consacrée à l'origine à Saint Marc, elle fut dédiée en 1638 à Notre Dame, patronne de la France, par décision de Louis XIII. Isdes est un point de départ idéal pour la découverte de la Sologne. Les forêts qui l'entourent sont magnifiques, parsemées d'étangs riches en faune que l'on peut observer en toute liberté en empruntant les chemins communaux. L’étang communal invite à la pêche. Au hasard des sentiers, vous pourrez découvrir des fermes solognotes et la vie de leurs habitants dans cet environnement accueillant.

Découverte du village de Vannes sur Cosson labellisé Village de caractère du Loiret avec de nombreuses spécificités de l'architecture solognote sans oublier la nature qui prédomine avec le bois Boulette, le Gr3C et l'Espace Naturel Sensible comprenant les étangs communaux.

Ce village est reconnu « Village de Caractère du Loiret » depuis 2020. Ce label qui atteste d’un patrimoine architectural de qualité, préservé et homogène. S’y promener vous apportera un dépaysement total et une découverte charmante.Les maisons à colombages, de briques rouges ou de torchis font de Vannes sur Cosson un bel exemple du bâti 100% solognot !
De vieilles maisons des XVIe-XVIIe siècles dont “le Vieux Relais”, l’ancien café de la gare, la mairie-école ou encore l’ancien presbytère sont d’ailleurs la preuve de ce savoir-faire incomparable. Le lavoir aussi, niché au fond d’une ruelle, il reste discret mais vaut le détour ! Levons le nez, l’église Saint-Martin (XVe-XVIe siècles) toute de pierres vêtue et disposant d’un caquetoir, trône fièrement au cœur du village, fidèles à ses consœurs typiquement solognotes mais avec un petit + … Elle protège en son sein la statue de Sainte-Montaine, patronne de la Sologne ! De belles propriétés sont également visibles en forêt, ces domaines de chasse font la richesse et la fierté de ce territoire de gibiers et de chasseurs.Vannes sur cosson a accueilli des personnages emblématiques de l’Histoire française. Saviez-vous que Jeanne d’Arc est passée par ici ? Il y a même encore la maison où elle séjourna, dans la rue menant de la mairie à l’église. L’illustre capitaine Ythier Sylvain Privé est quant à lui né à Vannes sur Cosson ! La place principale du village porte d’ailleurs son nom, en reconnaissance et en souvenir de cet homme de chez nous.